Inarius & Luna

Voici un début d'histoire, dont les deux personnages principaux sont Inarius et Luna, deux personnages fictifs. Je l'ai rédigé hier soir vers 2h alors que je me faisais royalement chier. Je ne sais pas si je la continuerai.. Cela ne dépend que de mon inspiration.

Pour ceux dont la flême ne les empêche pas d'entamer ce début... :



Accrochée haute est fière dans un ciel nocturne, une pleine Lune à l'armure d'argent innondait les froids ténèbres de la nuit de ses pâles rayons enchanteurs. Bercée par la douce lumière se perdant dans une légère brume, l'épaisse et sombre forêt qui recouvrait les étendues de plaines semblait être le repère de nombreux loups, dont les hurlements venaient de temps à autre briser le silence qui luttait pour régner en maître.. Une haute et abrupte falaise venait surplomber la vaste forêt du côté nord, sur laquelle était juchée une imposante masse noire, ressemblant à une sorte de citadelle.

Dans les profondeurs de ces bois, un jeune homme à l'aspect ténébreux venait de temps à autre se ressourcer en ces lieux reculés. Sous une grande silouhette obscure, vêtu que de noir, enveloppé dans un long manteau agité par le vent, il se déplaçait lentement entre les arbres, l'air songeur. Son visage pâle exprimait une froide sympathie, ainsi qu'une certaine fierté, mais obscurcies d'un voile de mélancolie. Ses yeux aux éclat d'obsidienne reflètaient un charme envoûtant, à moitié cachés par ses longs cheveux noirs balayés par la brise.

une jeune fille suivait un chemin sinueux entre les arbres dont la nuit rendait les silouhettes plus qu'inquiétantes.
De son visage se distinguaient ses yeux clairs, en partie illuminés par la lumière perçante de l'astre, ses lèvres et son nez fin, ainsi que sa peau à l'aspect aussi doux que lisse. Ses longs cheveux, noirs et lisses, retombaient en mèches sur ses épaules et contrastaient avec la pâleur de son visage intensifiée par celle des rayons de la Lune. Elle était entièrement habillé de noir, si ce n'était peut être la présence de rouge sur sa longue jupe asymétrique, se terminement par de fines dentelles. Son corset, d'un goût assez romantique, valorisait son buste et rendait sa silouhette des plus élégantes, laissant à nu ses bras et le haut de sa poitrine.
D'où venait-elle ? Où allait-elle ? Nul ne le savait. Même sa propre conscience semblait faillir quant à la raison de son voyage en ces lieux. Ses pas, marchant à un rythme souple et lent, semblaient guidés par une sorte de force mystérieuse, prenant totalement le contrôle de son être.

[...]